Écrit par marinepn - Publié le 08 Mai 2015 à 08:32

Ah, les crush...Qui n'en n'a pas eu ? Quand on y repense, on est souvent nostalgiques. Le coeur qui bat, tout ça, tout ça... que de souvenirs. Aujourd'hui, europe2.fr revient sur les épreuves qu'on traverse quand on a un béguin. Dieu sait que c'est dur.

« Est-ce qu’il/elle va appeler ? », « Un smiley ? Ca veut dire quoi un smiley ? c’est positif, non ? » Avouez-le , vous vous êtes déjà mis dans un état pareil pour un simple crush. Pour les Anglophobes, un crush, c’est un béguin. On tremble, on est incapable de faire une phrase comprenant un sujet, un verbe et un complément et pout finir, on passe notre vie à vérifier notre téléphone. Enfin, plus que d’habitude. Ensuite, on se torture en se demandant comment on a pu en arriver là. Pour vous messieurs, seuls les gestes qui rendent les femmes sexy sont à blâmer : sans ça, vous seriez en train de vivre tranquillement au lieu de penser à cette fille qui vous obsède. Quant à vous mesdames, on peut mettre ça sur le compte des pommette ou des smockings, au choix. Sans plus tarder, voici les différentes étapes psychologiques d’un béguin. Courage, europe2.fr vous soutient dans l’épreuve. Après, en dernier recours, vous pouvez toujours jouer à Candy Crush pour vous en remettre (pardon, nous étions obligés de la faire, celle-ci.)

« Il y a du réseau ici ? Vous êtes sûrs ? Non parce que j’attends un SMS très important. Pourquoi j’ai rien reçu ?! »

Ces faux espoirs quand votre téléphone vibre enfin : c’est votre mère qui dit « n’oublie pas le pain cette fois ». Bien.

A 10h38, il/elle a envoyé un message. il est 11h07 et vous le connaissez par coeur, à la virgule près. Vous l’avez lu quoi, dix fois ?

Sur Facebook, vous devenez plus redoutable qu’un cyber pirate : « Je ne veux pas son code de carte bleue, juste voir si j’ai de la concurrence, m’enfin ».

« Attends, il y a un smiley dans le message. Un clin d’oeil, je répète, c’est un clin d’oeil. Ca veut dire quoi ? C’est bien, hein ? » *insuffisance respiratoire + migraine*

Quand vous savez que vous allez le/la voir : « J’ai rien à me mettre » *désespoir intense*

Quand il/elle vous parle : « Je m’appelle comment ? On est où ? Il/elle a dit quoi ? J’ai pas écouté. Heeeelp ! Somedoby Heeeelp ! »