Mais que faisait le pape François avant de devenir le 266ème souverain pontife de l'histoire de l'Eglise catholique romaine ? Vous n'en avez pas la moindre idée ? On en parle ce matin dans Bienvenue Chez Clément - Afterwork Europe 2 et on vous donne la réponse sur europe2.fr !
Parce que l’on ne nait pas souverain de l’Eglise catholique romaine, Jorge Mario Bergoglio – plus connu sous le nom de Pape François – a comme tout le monde dû prendre quelques petits boulots au cours de sa jeunesse afin de payer ses factures. La question à cent mille est toute trouvée : mais qu’a bien pu faire notre très cher pape avant de recevoir l’appel de Dieu et d’intégrer les ordres ? Aux antipodes de son précédesseur, Benoit XVI, qui lui avait opté pour une attitude beaucoup plus discrère et réservée, le pape François semble ne rien vouloir cacher de sa vie et de son passé à ses fidèles. C’est donc tout naturellement qu’il s’est livré au petit jeu des confidences avec certains paroissiens romains, qui ont très certainement été tout aussi étonnés que nous en apprenant que Jorge Mario Bergoglio avait dans sa jeunesse été … videur de boÏte de nuit !
Les voies de cette discothèque sont impénétrables.
Difficile à croire, n’est-ce pas ? Et pourtant. Alors étudiant en chimie, le pape François s’était retrouvé comme beaucoup de jeunes dans sa situation contraint de trouver un emploi afin de financer ses études, et avait fini par atterrir à l’entrée d’une discothèque de Buenos Aires en tant que videur. Mais ce n’est pas tout ! Un article paru dans Catholic News Service nous apprend également que l’ancien archevêque de Rome avait par le passé le poste de concierge et passé la serpillère dans plusieurs entreprises avant de devenir le cobaye de tests pharmaceutiques ! Et comme si cela ne suffisait pour anéantir définitivement l’image que l’on pouvait se faire d’un pape, François a également révélé qu’il avait eu une petite amie avant de se découvrir une vocation religieuse, et qu’il était un grand fan du club de foot de San Lorenzo basé à Buenos Aires ! Doit-on s’étonner que de la cocaîne ait été retrouvée au Vatican un jour ?