Tricher lors d'un examen, tout le monde y a déjà pensé au moins une fois. Seulement, qui a déjà osé franchir le pas ? On en parle ce soir dans Enora le soir !
Au collège, tricher était un peu comme le shoot d’adrénaline quotidien. C’était tout un stratagème : repérer le moment propice, sortir l’anti-sèche (oui, pas de smartphones à l’époque, désolés ! ) et enfin, copier tranquillement sans se faire prendre. Ca vous rappelle des souvenirs ? Pas étonnant puisque tricher fait partie de ces choses interdites que l’on adore faire. Au final, près 70% des étudiants Français admettent avoir déjà triché au cours de leur scolarité , peut-on lire dans le Figaro.. Oui, ce n’est pas joli-joli, on ne vous le fait pas dire. S’il fallait parler en chiffres, il faudrait dire que 4,7% des individus interrogés ont avoué avoir triché en primaire, 48,3% au collège, 30,6% au lycée et 11,4% à l’université. Après, toutes les techniques sont bonnes à prendre : d’abord, il y a la bonne vieille anti sèche. Ensuite, il y a toujours un ami pour aider. Mais à l’heure actuelle, les smartphones remportent la palme.
Bonne nouvelle, on ne devient pas tricheur du jour au lendemain : «L’intensité de la fraude aux examens dépend fortement de l’expérience déjà acquise dans ce domaine», expliquent les chercheurs. Autrement dit, quand on a beaucoup triché beaucoup au collège, on continuera forcément au lycée et au-delà. Autrement dit, peu de chance qu’un étudiant se découvre une passion pour la tricherie une fois arrivé à l’université. Mais un conseil, briefez vous futurs enfants. Sait-on jamais, c’est peut être dans les gènes !