Le deuxième album solo de Noel Galalgher « Chasing Yesteray » a beau être sorti ce lundi, le fantasque chanteur est en très bonne voie pour enregistrer le troisième ! europe2.fr vous dit tout sur son extraordinaire productivité !
On va finir par penser qu’il est devenu hyperactif. Après s’être assuré la présence de David Beckham dans son prochain clip, Noel Gallagher le clame haut et fort : il a déjà la moitié de son troisième album solo ! C’est à l’occasion d’une interview avec le magazine Vogue que le mancunien s’est livré à cette confession. Fidèle à lui-même, le chanteur annonce dés le début de l’interview qu’il accuse le coup d’une sévère gueule de bois. Le chanteur répond à de nombreuses questions sur son frère, la relation qu’il entretient avec lui, son approche de la mode, son avis sur la musique commerciale et bien sûr sur la sonorité de « Chasing Yesterday ». Du classique en somme. Puis Noel Gallagher prend de nouveau tout le monde de court en annonçant l’avancée de son prochain album.
Noel est interrogé sur le surprenant titre de son album « Chasing Yesterday », alors qu’il essaye toujours d’aller de l’avant, à la recherche de nouveaux projets et de nouvelles opportunités, ne se contentant pas de retravailler des albums d’Oasis, où de vivre sur les vestiges de sa grandeur passée. Et Noel nous fait du Noel « Au niveau des paroles des chansons je peux regarder en arrière de temps en temps, on peut regarder en arrière dans une chanson par exemple dans ‘Dying of The Light’, où le protagoniste regarde vers le passé, mais moi personnellement, je suis à mi-chemin d’enregistrer mon prochain album. Je veux dire, même si j’adore un gars comme Jimmy Page (le guitariste de Led Zeppelin), en tant que guitariste et en tant qu’homme, il est tellement brillant, un homme brillant qui ne fait remasteriser des disques de Led Zeppelin. Vous voyez ce que je veux dire ? ». L’ainé de la fratrie Gallagher nous épate par sa productivité. Comme en témoigne également son projet d’album de remix avec Massive Attack, Noel Gallagher ne regarde vraiment pas vers le passé.