Panic ! at the Disco à la Cigale, trois raisons de les voir en concert

La fanbase de Panic ! at the Disco est du genre solide et ce soir, tous se sont donnés rendez-vous à la Cigale de Paris pour applaudir le dernier album en date. Le show affiche complet mais la bonne nouvelle, c’est que la formation sera de retour en novembre prochain. Si vous n’avez pas encore pris votre place pour aller les voir à la salle Pleyel dans quelques mois, voici quelques raisons pour vous en convaincre. Pour les autres, ceux qui seront dans la salle, voilà de quoi vous donner encore plus envie d’y aller.

Victorious

Death of a Bachelor est sorti en janvier denier et à peine quelques semaines après sa sortie, le disque était dans le Top Billboard. Avec cet album, Brendon Urie a pris un risque en entreprenant quelque chose de personnel mais visiblement, il n’a absolument pas déçu, bien au contraire. On y retrouve des titres puissants comme Victorious et pour être tout à fait honnête, c’est exactement le genre de morceaux que nous avons hâte d’écouter en live. Ajoutez à cela Don’t Threaten Me With A Good Time et vous obtenez un vrai spectacle. Ceux qui les ont déjà vus savent que sur scène, Panic ! at the Disco est le genre à faire un sans faute. Brendon Urie est un vrai showman et avec des morceaux aussi énergiques, autant vous dire que le concert promet d’être incroyable.

Bohemian Rhapsody

Urie a beau être un showman qui se débarrasse toujours de sa chemise et qui aime faire des saltos arrières, il est surtout l’un des rares artistes à maitriser sa voix comme personne. Pour preuve, sa reprise de Bohemian Rhapsody de Queen. Rien que pour ça, vous devriez vous presser en billetteries.

I Write Sins Not tragedies

Enfin, il y a le classique I Write Sins Not Tragedies. Morceau culte au point que le chanteur lui-même n’a même plus besoin d’entonner les paroles, I Write Sins est la marque de fabrique de Panic ! . Bien sûr, il y a des dizaines de titres qui méritent clairement d’être entendus (tout album confondu) mais celui-ci, c’est ce que l’on appelle la base. Ce soir, Paris n’y échappera probablement pas et si c’est votre premier concert, il y a de fortes chances pour que vous en ressortiez vidés. Et croyez-nous, ce sera de la bonne fatigue.