Fear The Walking Dead Saison 2 : Épisode 5, les meilleures répliques de Captive

Le nouvel épisode de Fear The Walking Dead Captive diffusé hier soir sur AMC dont les premières vidéos sont disponibles s’est révélé être une nouvelle fois d’un très bon niveau. Les personnages commencent à réellement gagner en profondeur et à nous surprendre (Nick, par exemple, nous a définitivement convaincus !) tandis que les intrigues sont de plus en plus intéressantes. Plus surprenant encore, ce spin-off de The Walking Dead réussit au fil des épisodes à se distinguer de la série originelle. Voici notre récap’ en répliques de l’épisode 5 de la saison 2 de Fear The Walking Dead :

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Connor

Nous pensons que tu peux être heureuse ici. Nous ne pouvons pas emmener tout le monde ici. Nous devons être sélectif. Jack, il a ce feeling à propos de toi.

Reed

Mon père, c’était un co**ard ! Vous avez déjà vu ce qu’il se passait lorsqu’on pince le talon d’Achille d’un homme ?

Daniel

Désolé. Reed : Oh vous allez l’être

Daniel

Connor est leur leader, notre prisonnier est son frère. Cela peut permettre un effet de levier.

Madison

On ne traverse rien sans ma famille.

Victor

Je vais nous faire traverser. Luis : Tu vas nous faire tuer.

Daniel

Nous aurons besoin de tout le monde. Nick, Christopher… Madison : Non. Daniel : Tu dois arrêter de les traiter comme des enfants. Madison : Mais ils le sont. Daniel : Plus maintenant.

Jack

Tu m’as séduit. Alicia : Je n’essayais pas de te séduire. Je voulais juste quelqu’un à qui parler.

Victor à Madison

J’ai vu le potentiel de votre fils en cinq minutes après l’avoir rencontré et il était en manque. Vous l’avez materné pendant 19 ans, et vous ne savez toujours pas ce dont il est capable.

Alex à Travis

J’ai vu ton visage, tu le savais. Tu savais ce qui allait arriver. Tu savais quelle était la bonne chose à faire et tu as choisi, tu as choisi l’autre.

Travis

On peut être plus, plus que ce que nous sommes devenus, pouvons-nous ?

Reed

Tu ne ressembles pas à ton sœur, ni à sa mère d’ailleurs. Je commence à penser que toi et moi avons beaucoup en commun. On est des outsiders. Dis moi, où est ta vraie mère ? (…) D’orphelin à orphelin, sois prêt, car quand arrivera le moment, ces gens que tu appelles ta famille, ils vont te laisser tomber comme si tu n’étais rien. Le sang est tout ce qui compte maintenant.

Ofelia

Je commence à m’y habituer, le sang qui coule, on nettoie, et il coule de nouveau.

Nick

Pourquoi tu ne veux pas me laisser y aller ? Madison : Parce que tu en as envie.