Écrit par marinepn - Publié le 01 Avr 2016 à 19:13

La plus grosse soirée electro jamais organisée à Toulouse bat son plein et pour continuer sur cette lancée, OfenBach est venu mettre le feu au zénith.

Ofenbach, duo qui n’a de cesse de monter en Europe nous a fait l’honneur de sa présence – pour le plus grand plaisir du public. Connus pour des morceaux comme Around The Fire, ceux qui cumulent plus de 700 000 auditeurs sur Spotify s’en sont donnés à coeur joie une fois sur scène. Pour le premier Electroshock, ils se disaient plus motivés que jamais : « on est très très chaud », confessaient-ils à Morgan. Et visiblement, ce fut le cas. Ils s’étaient échauffés en donnant un before dans un bus et même si c’est plutôt original, il faut reconnaître que sur scène, ils sont excellents. Ils nous avaient prévenus, ils avaient dit que ce serait énorme. Si jamais vous étiez perplexes, ce set devrait mettre tout le monde d’accord. Après le show applaudis de Domenico Torti ou encore celui de Jonas Blue, voici Ofenbach.

A deux derrière leurs platines, ils domptent la salle sans difficulté aucune. Vous ne pensiez pas vous déchaîner sur un titre de Sam Smith ? Quand on sait que le prodige de la pop anglaise ne s’illustre pas dans la musique la plus dansante qui soit, on pourrait en douter. Mais le remix de Stay With Me par Ofenbach, il en vaut le détour. Ce remix, il prouve qu’en musique, avec les bons beats, on peut tout se permettre. Peu après, Brodie Barclay arrive sur scène et s’adresse au public comme si c’était un vieil ami – il veut savoir comment on va, si on est heureux d’être là. Bien sûr qu’on l’est. Et encore plus depuis qu’ils sont tous les trois.

Ofenbach en interview

Pas le temps de souffler à Toulouse puisque Yall enchaîne. Yall, ce sont ces espagnols connus pour leur succès international Hundred Miles, en featuring avec Gabriela Richardson. Là aussi, on vous parle d’un titre qui fait le tour des radios, un titre qui ne laisse absolument pas indifférent. C’est bien simple, quand Hundred Miles démarre, on se met à danser ou à chanter – au choix. A Toulouse, il n’aura pas fallu longtemps à la foule pour se laisser aller. Un remix de Robin Schulz et le public ne répond plus de rien. Dans la fosse, on bouge, on boit (avec modération, ne l’oubliez pas) et surtout, on lâche les vannes. Chacun est content d’être là et on le montre en bougeant en rythme.