Europe 2 a regroupé pour vous, 10 choses qui ont marqué notre enfance. Préparez-vous à replonger dans vos peurs et traumatismes d'antan. Brrr !
Avant de devenir adulte, nous passons tous par la case « enfant ». C’est universel, et qui dit enfant, dit innocence et peur de l’inconnu. Les peurs touchent tout le monde. Certaines mères ont peur de laisser leurs enfants à leur mari, les chats ont peur des concombres, mais, de quoi aviez-vous peur, vous, étant enfant ? Europe 2 a décidé de vous replonger dans l’univers terrifiant de vos angoisses passées, des plus ridicules aux plus légitimes. Bienvenue en enfance.
Chair de Poule
Qu’il s’agisse de la série adaptée, de son générique ou des livres, Chair de Poule aura traumatisé des générations entières. Pour ceux qui n’ont pas connu, les livres Chair de Poule sont des romans à suspense destinés aux enfants et aux jeunes adolescents. Mais ils n’étaient pas de simples livres, on a même du mal à croire qu’ils aient été écrits pour des enfants tant ils étaient effrayants. Le pire reste probablement le générique de la série adapté sur le petit écran. Vous pouviez être certains de vous coucher la peur au ventre, et cela alimentait d’ailleurs la peur suivante.
Les monstres cachés sous le lit
Ah, les monstres cachés sous le lit. On se demande bien d’où cette peur vient et quand est-ce qu’elle est créée dans le cerveau d’un enfant. On en est presque à se demander si elle n’est pas génétique quand on sait que tous les enfants du monde entier ont la même. La peur du « je sors mon pied de la couette parce que j’ai chaud mais je le re-rentre très rapidement au cas où quelque chose me l’attrape ». On avait (et on a toujours pour certains) l’impression qu’une seconde suffisait pour que les monstres cachés sous le lit ne s’empressent de nous tirer de notre lit. Il aurait sûrement fallu se demander où les monstres auraient-ils pu nous emmener, si ce n’est de l’autre côté du lit.
Le générique de X-files
On est tous d’accord pour dire que ces sifflements resteront à jamais ancrés dans notre cerveau. Alors oui, pour un enfant, c’était programmé tard le soir, mais personne n’est à l’abri de rien. Le bruit pouvait retentir de nulle part pour nous suivre jusque dans nos pires cauchemars...
Les clowns
Certains les voyaient comme les gentils clowns plein d’humour et bien intentionnés dans les cirques ou les fêtes d’anniversaires. Dans la rédac’ de Europe 2, nous sommes tous d’accord pour dire que nous les clowns, on les voyait comme celui de « Ça », des êtres maléfiques qui n’attendaient que la nuit pour nous kidnapper. Oh tiens, la nuit.
Le noir
Le noir, c’était un peu la porte ouverte à tous les excés (et à tous les monstres/clowns et compagnie). Étant enfant, le noir était une notion, un concept que nous ne voulions en aucun cas expérimenté car il permettait à notre imagination débordante d’inventer les plus grands monstres, venus spécialement pour nous terrifier. Comme si les monstres n’avaient que ça à faire. Et le noir devenait encore plus terrifiant, les samedi soirs…
La Trilogie du Samedi
Ceux qui sont nés dans les années 90 ont eu la chance de connaître la Trilogie du Samedi. Et, pour la première fois dans ce classement, c’est une peur que les enfants / ados aimaient s’infliger. Tous les samedis soir étaient diffusées des séries sur le thème de l’angoisse. On se rappelle notamment de Charmed, Buffy Contre les Vampires et X-files. C’était ça, la partie la plus intéressante du week-end !
Les tornades
Le film « Twister » n’a pas vraiment arrangé les choses. Tout le monde se souvient de cette vache qui vole littéralement dans les airs. Tous les enfants connaissant l’existence de ce qu’était une tornade, avaient peur des tornades. True fact.
Les cambrioleurs
C’est une des peurs omniprésentes chez les enfants : les cambrioleurs qui viennent soit nous voler nos jouets, soit voler nos parents. On vous laisse vous souvenir de ce que vous craigniez qu’un cambrioleur ne vous prenne et on passe à l’avant-dernière peur. Brrrr !
La scène où Pinocchio se transforme en âne
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À toutes les personnes qui ont vu cette version du dessin animé entre 7 et 12 ans, vous ne pouvez pas le niez. C’est une des scènes les plus traumatisantes de l’univers Disney (qu’on ne retrouve d’ailleurs pas du tout tant cela est effrayant). Elle représente la trahison de l’innocence, l’abus de confiance et, pour une adaptation Disney, la scène est très sombre. La encore, on frissonne…
Que nos parents nous abandonnent ou nous oublient.
La plus grande peur d’un enfant est probablement celle de perdre un de ses parents. Qu’il s’agisse d’être abandonné ou oublié, il nous était impossible de concevoir cela. C’est pour cette raison que nous restions souvent accrochés aux jambes de nos parents, surtout avant chaque descente d’arrêt (bus/tramway/train, ça marche pour tout). Ce qui est sûr, c’est que la seule et unique même grande peur qui perdure avec le temps, est celle de perdre les gens qu’on aime.