Écrit par - Publié le 07 Déc 2015 à 19:30

Seulement quatre jours après Chris Wolstenholme, Dominic Howard aussi fête son anniversaire. Retour sur le parcours du batteur de Muse.

Aujourd’hui c’est une journée spéciale pour Muse : la liste des nominations pour les Grammy Awards est enfin sortie, et le groupe est en course pour l’une des statuettes pour la huitième fois. Après 2011, quand il avait remporté le prix du « Meilleur album rock », le groupe pourrait gagner un autre prix avec l’album « Drones »! Mais ce n’est pas tout. Ce 7 décembre -seulement quatre jours après son ami Chris Wolstenholme- Dominic Howard, batteur de Muse et musicien polyvalent, fête son anniversaire. Howard est né à Stockport, Greater Manchester, en Angleterre, et quand il avait environ 8 ans, il a déménagé avec sa famille à Teignmouth, une petite ville dans le Devon. Il a commencé à jouer de la batterie à l’âge de 12 ans, avant de monter son premier groupe : les Carnage Mayhem. Puis, il a proposé à Matt Bellamy, qui jouait de la guitare mais n’avait de batteur, de rejoindre son groupe.

Après deux ans, Bellamy suggère qu’ils commencent à écrire leurs propres chansons, puis Chris Wolstenholme les rejoint comme bassiste avec un certain « esprit de sacrifice », car avant il jouait de la batterie dans le « Fixed Penalty ». Le style de jeu de Dominic Howard a toujours été assez unique : il est un joueur très puissant avec les grands tambours et les cymbales, mais il a été aussi beaucoup influencé par la musique jazz. Sa technique de percussions est inspirée aussi par Stewart Copeland, Nick Mason, Buddy Rich, Roger Taylor et surtout Dave Grohl. Mais c’est pas fini : en raison de son grand talent, Dom a également reçu un doctorat honorifique des Arts à l’Université de Plymouth ! Rien que ça.

Dominic célèbre aujourd’hui ses 38 ans, mais son esprit est toujours celui d’un gosse. Pour lui, la partie la plus difficile d’être un membre de Muse c’est d’aller dormir tard et ne pouvoir pas faire la grâce matinée qu’il apprécie tant ! Il s’est également aventuré dans le chant, sans réitéré l’expérience. Quand les Muse ont écrit « Can’t Take My Eyes Off You », Matthew Bellamy a d’ailleurs expliqué que Dominic Howard voulait chanter cette chanson. Pour l’anecdote, il a définitivement oublié le chant lors de l’enregistrement de « Absolution » quand sur le morceau « Blackout », les techniciens ont fait remarquer que quelqu’un chantait faux ! Après quelques tentatives les résultats étaient les mêmes. Heureusement, la batterie le satisfait pleinement. Et les fans aussi !