Écrit par - Publié le 14 Avr 2015 à 13:35

La formation emmenée par Julian Casablancas pourrait bien retourner en studio dans les mois à venir. Le mythique groupe new-yorkais de retour pour de bon ? europe2.fr vous dit tout cette affaire !

Natalia Imbruglia a repris son « Instant Crush », mais le timbre unique de Julian Casablancas demeurera toujours le supplément d’âme de la chanson de nos robots préférés. En septembre dernier, le chanteur new-yorkais a sorti un album avec son groupe Julian Casablancas + The Voidz, album qui n’a pas tellement convaincu les fans des Strokes, la véritable formation de Julian. Le dernier opus des Strokes date de 2013. « Comedown Machine » avait été plutôt bien reçu par les fans et la critique, après le très mitigé « Angles », paru en 2011. Toutefois, « Comedown Machine » a fait l’objet d’une promotion quasi nulle, aucun concert et très peu d’interviews à se mettre sous la dent. Alors que les amoureux des Strokes attendent un retour du son qui a propulsé le groupe sur le toit du monde en 2001 avec « Is This It », les auréolant d’un statut flatteur de « sauveurs du rock », les récents propos de Julian Casablancas devraient faire frémir les fans.

C’est dans une interview accordée à Noisey que le chanteur évoque son envie de retrouver les Strokes « C’est la première fois depuis Comedown Machine qu’on se retrouve tous uniquement dans le but d’écrire. On envisage d’enregistrer quelques trucs. Je pense qu’on peut encore faire des trucs cools et c’est ce qu’on va faire ». Alors que les Strokes se produiront en à Hyde Park cet été, Julian Casablancas avoue que ces jours dorés lui manquent « Les Strokes étaient ma vie. Je me sens nostalgique parfois. C’était tout et j’ai tout mis dedans, c’était un voyage que je voulais ne jamais arrêter, mais je n’ai pas pu continuer et c’était très frustrant. C’était comme si on avait la meilleure équipe de l’histoire et qu’avant le championnat les gens commençaient à célébrer le titre sans s’entraîner un seul instant. Et on doit encore jouer la finale ». L’odyssée des Strokes semble loin d’être terminée pour Casablancas.