Phil Rudd d’AC/DC n’est pas sorti d’affaire. Accusé d’avoir menacé de tuer deux personnes en septembre dernier, ces dernières ont été identifiées et il s’agirait en fait d’un homme et de sa fille de dix ans. europe2.fr vous en parle.
L’affaire Phil Rudd connait un nouveau rebondissement. Après un incident avec son garde du corps la semaine dernière dont vous parlait europe2.fr, Phil Rudd d’AC/DC voit des éléments de son dossier fuiter… Phil Rudd d’AC/DC plaide non coupable aux accusations de menaces de mort et de détention de drogues dont on l’accuse. Et dans le cadre de ce procès, le juge a demandé qu’on dévoile les détails de son dossier. Les documents inhérents à l’affaire ont ainsi été ouverts, révélant que ces menaces de mort ont été faites à l’encontre d’un homme non identifié mais aussi de sa fille, âgée de dix ans. Ces coups de téléphone auraient été passés le 26 septembre dernier, soit un mois avant la descente de police à son domicile le 6 novembre. Dans le premier coup de téléphone, objet du procès, Rudd aurait appelé un avocat d’affaires afin de « discuter ce qu’il voulait faire à » ces deux personnes qu’il menaçait de tuer, comme nous le révèle Rolling Stone. Dans le deuxième coup de téléphone, il les aurait contactés afin de réitérer ses menaces.
Le batteur d’AC/DC nie ces coups de téléphone et les charges l’accusant de vouloir donner la mort ont été abandonnées depuis. Par contre, il doit toujours répondre aux accusations de détention de drogues et de menaces de mort. Lors d’une perquisition à son domicile, 0,71 grammes de méthamphétamines et 130 grammes de cannabis ont été trouvés. Rudd admet la détention de marijuana mais nie le reste. Ces révélations ordonnées par le juge viennent un jour après sa rencontre hasardeuse avec un témoin à charge dans le procès dans les rues de Tauranga qui a mis Phil Rudd d’AC/DC hors de lui, provoquant une altercation avec son garde du corps, et qui a été mis depuis en détention. Il a été remis en liberté, à condition qu’il ne prenne plus de drogues illégales, en raison de son comportement jugé « imprévisible ». Il est attendu le 10 février prochain au tribunal.