Écrit par - Publié le 06 Déc 2017 à 13:14

Le chanteur de Linkin Park n'était pas sous l'emprise de drogues comme le premier test toxicologique le laissait croire.

Personne n’arrive à l’oublier. Le 20 juillet dernier, Chester Bennington se donnait la mort en se pendant dans sa maison à Los Angeles, laissant derrière lui des milliers de fans de Linkin Park en deuil. Si récemment le groupe lui rendait hommage pendant les American Music Awards, aujourd’hui des détails supplémentaires sur les conditions de sa mort viennent d’être révélés, par le biais du rapport d’autopsie et des résultats de toxicologie. Les résultats ont montré qu’il y avait une certaine quantité d’alcool dans l’organisme du chanteur au moment de sa mort, mais pas de traces de MDMA (ecstasy) comme le présumaient les premiers tests toxicologiques.

Les deux tests suivants ont donc pu confirmer que Chester Bennington n’était pas sous l’influence de de drogue avant de passer à l’acte, contrairement à ce qu’on pensait au départ. Les autorités avaient par ailleurs retrouvé un flacon de Zolpidem, un somnifère, et des bouteilles de bières vides posées sur une table de la maison de l’artiste. Qu’il repose désormais en paix. Pour se souvenir encore de lui et de son talent, Linkin Park a promis la sortie d’un nouvel album live de la dernière tournée du groupe avec Chester Bennington.