Écrit par Gaetan Audeyer - Publié le 26 Juil 2022 à 11:34

La chanteuse n'a pas hésité à parler la langue de Molière lors de sa venue en France.

Alors que ses Little Monsters attendaient avec impatience la tournée mondiale de son dernier opus, Chromatica, qui a été lancée en Allemagne il y a quelques semaines, Lady Gaga avait entamé son grand retour à Las Vegas dès la fin de l’année dernière. Plus de trois ans après le lancement de sa résidence au Park MGM, l’un des plus grands casinos de la ville, la star américaine avait fait un come-back remarqué pour quelques représentations avec son spectacle Jazz & Piano. Un show intimiste aux accents vintage dont certains extraits fuitent régulièrement sur les réseaux sociaux. Visiblement au top de sa forme, celle qui était en concert au Stade France le 24 juillet a offert un concert absolument exceptionnel aux 76 000 fans présents dans l’édifice.

Hold My Hand, Poker Face, Bad Romance, Shallow, Rain on Me et j’en passe, tous les tubes de la chanteuse américaine étaient réunis pour offrir une soirée inoubliable à ses fans. Il faut dire qu’après plusieurs annulations, l’artiste avait mis le paquet pour son retour en France. Des retrouvailles qui ont fait l’unanimité sur les réseaux sociaux où certains internautes affirment même avoir vécu le plus beau concert de leur vie. Bref, comme à son habitude, la star s’est donnée corps et âme pour offrir un concert visuellement impressionnant, à l’ambiance folle et dont l’aspect voix est mise à l’honneur.

Fascinée par la France, Lady Gaga n’a jamais caché son admiration pour le pays de la gastronomie, du bon vin et de la mode. Alors que ses fans avaient pu l’entendre parler français à de nombreuses reprises ces dernières années, son dernier passage dans l’hexagone n’est pas passé inaperçu non plus. En effet, lors de son show sur la plus grande scène du pays, l’interprète de Rain on Me s’est laissée aller à quelques phrases dans la langue de Molière. Un trait d’audace qui lui a bien évidemment valu les acclamations des 76 000 spectateurs venus l’applaudir. On regarde les extraits.