Hier soir, Christine & The Queens a littéralement enflammé Garorock. Report.
Coup de chaud sur Garo ! Si la température n’a cessé de grimper tout au long de la journée, les festivaliers n’en n’ont pas moins profité – au contraire ! Et justement, quand est venu le moment pour Christine & The Queens de monter sur scène, ils étaient nombreux à l’attendre. Venue défendre son dernier opus (Chris, sorti il y a quelques mois), l’artiste nous avait préparé un show digne d’un Bercy : danseurs, chorégraphies et effets pyrotechniques, tout était là pour en mettre plein la vue à la foule.
Alors là @garorock ! J’en ai encore le cœur chaud ☄️ photos @BerangerTillard pic.twitter.com/DdTrP5fdVx
— Chris (@QueensChristine) 29 juin 2019
On le sait, sur scène, Christine & The Queens donne tout : on se souviendra longtemps de Damn, Dis Moi qui a (littéralement) fait monter la température (déjà bien élevée) dans le public. Le G, Science Fiction ou encore La Marcheuse s’enchaînent et entourée de ses danseaurs, Christine défend cet album dont elle est si fière. Si vous suivez l’artiste depuis longtemps, alors vous savez qu’il lui tient à coeur de prôner la liberté (la liberté d’expression, la liberté de « changer de nom » mais aussi la liberté des genres). Et c’est avec tout l’amour, la bienveillance et la tolérance qu’elle a qu’elle s’est lancé dans un discours inspirant. L’idée ? Faire comprendre à l’autre que l’humain ne se limite pas qu’à un genre.
Faisant honneur à la version anglaise de son opus, elle nous offre Doesn’t Matter (Voleur de Soleil). Mais, ce n’est pas tout ! La veille, Angèle reprenait T’es Beau de Pauline Croze sur scène. Christine, elle, a repris (brillamment) California de Mylène Farmer. Après avoir joué Saint Claude et Intranquilité, elle quitte la scène (en nage !) sous les acclamations du public. Une chose est sûre, Christine & The Queens n’oubliera pas ce live made in Garo de sitôt !