Écrit par - Publié le 24 Juin 2019 à 13:16

Honneur aux dames avec trois figures emblématiques de la scène française : Angèle, Corine et Cléa Vincent. 

Angèle

Avec Angèle, il n’y a pas de secret. Ça marche à tous les coups. Et en effet, en trois jours de festival à Solidays, aucun artiste n’avait rassemblé autant de monde. À tout juste 24 ans, la jeune belge semble déjà au sommet de sa carrière. Petits et grands, tous se déhanche sur ses tubes. Et ils sont déjà nombreux. La thune, Tout oublier, Balance ton quoi, la chanteuse ne peut tout simplement pas en placer une tellement que le public connaît les paroles. Mais qu’importe puisque ça semble lui faire chaud au coeur. Toujours apprêtée, la chanteuse rayonne. En tournée dans de nombreux festivals cet été, Angèle est partout. Pourtant, on ne se lasse pas.

Corine

Les textes faussement naïfs de Corine résonnent sur la scène du Dôme comme une évidence. Et ils attirent en masse. Fort du succès de son premier album, Un air de fête, la chanteuse originaire du sud de la France s’éclate. Dans la vie ou sur la scène, impossible de la rater. D’ailleurs, son style si particulier et sa crinière de lionne ne la quitte jamais, preuve que ce n’est pas un personnage mais bien sa nature. Des chorégraphies endiablées et des tubes déjà bien connus tels que Pourquoi Pourquoi, Pluie fine ou Maquillage, que le public de Solidays s’est empressé de chanter en cœur. Présents sur de nombreux festivals cet été, Corine et toute sa bande sont prêts à entamer un été très chaud.

Cléa Vincent

Sous le Dôme, entre 17 et 18 heures, le chant est à l’honneur avec Cléa Vincent. Pour sa prestation, l’uniforme est de rigueur : elle et ses musiciens ne portent que des t-shirts blanc. Ici, on ne mise pas forcément sur la mise en scène ou l’apparence, ce n’est pas ce qui compte. En revanche, la voix est là. Et le public, de tous les âges – on a même pu apercevoir une jeune fan sur les épaules de son papa – est conquis. Avec Château perdu, la chanteuse emporte les festivaliers avec elle. Il est déjà l’heure d’entonner Nuits sans Sommeil. Elle remercie son équipe, les organisateurs de l’événement et puis nous. Mais on a envie de lui répondre qu’il n’y a pas de quoi.