Après de longs mois rythmés par la situation sanitaire, la vie reprend -peu à peu- son cours : les clubs ouvrent de nouveau leurs portes, les concerts reprennent et les artistes, eux, retrouvent leurs publics. C’est le cas de Kungs qui, après le confinement, a choisi de célébrer la ré-ouverture du monde avec un premier single taillé pour danser : Never Going Home nous annonce un album festif et coloré qui, vous le savez peut-être, est complètement différent ce que le DJ avait pourtant en tête après la sortie de Layers. Une pandémie et un confinement plus tard, celui qui nous a offert Regarde Moi a choisi de faire danser les foules – pour le plus grand plaisir du public marseillais.
Tête d’affiche de cet Electroshock, Kungs a su clore la soirée avec tout le brio qu’on lui connait. Le jeune prodige offre dès les premières secondes LE morceau que tout le monde attend : Thir Girl. Si le titre a traversé les frontières pour devenir le succès que l’on connaît, à Marseille, il a résonné au-delà des murs du Baou. Après le mix parfaitement calibré de Bob Sinclar, le public en redemande et donne tout ce qui lui reste. Et Kungs, de son côté, n’est pas en reste ! Celui qui a fait son grand retour avec Never Going Home compte bien ne pas ménager le public marseillais.
Entre One More Time de Daft Punk et Don’t Start Now de Dua Lipa, Kungs trouve le parfait équilibre entre ses morceaux originaux et le mix taillé pour les dance-floor. Pour l’apothéose, il faudra attendre Be Right Here, qui sera le tout dernier morceau de cette soirée rythmée par les sons électro made in Europe 2.
Après près de cinq heures de concert, cette nouvelle édition d’Electroshock s’achève sur une note plus que joyeuse : des retrouvailles réussies sous le soleil de Marseille, que demander de plus ? Merci aux artistes, merci au Baou mais sutout, MERCI A VOUS !
On vous retrouve au prochain ?