Peut-être ne connaissez-vous pas son nom mais ses mixes, vous les avez forcément entendus. Domenico Torti est passé dans notre Guest Room un peu plus tôt dans la journée mais à 19h30, il ‘est lancé dans l’arène. Sa mission ? Ouvrir la soirée et mettre la foule dans l’ambiance électrique d’Electroshock. On vous le donne dans le mille, il a parfaitement relevé le défi.
Il ouvre avec I Feel It Coming par The Weeknd, un joli clin d’oeil à Daft Punk, duo électro beaucoup remixé par le DJ. Pour l’occasion, les danseuses réalisent leurs plus belles acrobaties (on en aurait presque mal !) et dans la salle, on réagit au quart de tour. Il faut dire que The Weeknd, c’est une excellente entrée en matière. On notera l’hommage à George Michael (qui nous a quittés bien trop tôt) avec Freedom. Et libre ce soir, on l’est à Strasbourg.
C’est au tour de @domenicotorti d’ambiancer le Zenith de Strasbourg ! #Electroshock pic.twitter.com/1fXKVRwAUd
— Europe 2 Officiel (@Europe 2fr) 27 janvier 2017
Le set est rythmé, varié et dans la foule, l’ambiance ne met pas longtemps à s’échauffer. A Electroshock, on est pas là pour plaisanter ! Domenico Torti enchaine avec un classique signé Keedz, Stand On The Word, pile ce qu’il fallait pour que tout le monde se lâche. Parce qu’on ne va pas se mentir, il n’y a rien de mieux pour se défouler sur le dance-floor. Quiconque à vu le film Polisse a déjà eu envie de se prendre pour Joey Starr en pleine chorégraphie.
Domenico Torti termine son set en apothéose et dans la salle, on explose. Il est 20 heures à peine et tout ça laisse présager une soirée mémorable. Strasbourg n’oubliera pas Electroshock de sitôt et encore moins ce set incroyable.