Vous l’avez connu sculpteur et aujourd’hui, Richard Orlinski confirme qu’il était tout aussi bon pour la musique. Pour sa secodne édition, il n’a pas déçu le public qui s’est déchaine au rythme de Heartbeat.
Il est de retour sur la scène d’Electroshock. Richard Orlinski, ce sculpteur de sons incomparable a réitéré pour une nouvelle édition et on ne pouvait pas rêver mieux. Déjà lors de l’édition parisienne, il avait conquis la foule et à Strasbourg, ce fut le même envoutement. Au programme de son set, son désormais culte Heartbeat – titre qui vous fait danser depuis des mois sur les ondes de Europe 2.
#Electroshock je repars avec le gorille #jeveuxmontersurscène
— Fiabon Elodie (@ElodieFiabon) 27 janvier 2017
Il commence donc avec HeartBeat, morceau qui est devenu son hymne. Déjà, le ton est donné : Richard Orlinski n’est pas là pour plaisanter, il est là pour faire danser Strasbourg. Et comme à Paris, il donne tout ce qu’il a. Son Gorille est là, fier et digne – il veille sur le show. Les danseuses se déchaînent et il n’aura pas fallu longtemps pour que le DJ en personne lâche ses platines. Il les rejoint se met à danser. Comment ? Grâce à son gant lui permettant de mixer !
#Electroshock je repars avec le gorille #jeveuxmontersurscène
— Fiabon Elodie (@ElodieFiabon) 27 janvier 2017
En exclue mondiale ce soir @RichardOrlinski test son gant pour mixer à distance, c’est à couper le souffle ! #electroshock pic.twitter.com/ICHU72nkFo
— Europe 2 Officiel (@Europe 2fr) 27 janvier 2017
Quand il remixe In The Name of Love de Martin Garrix, le public répond et chante chaque parole. L’ambiance est incroyable, les effets sont géniaux et le show est parfait. Que demander de plus ? Il enchaîne avec Free From Desire mais conclu avec Heartbeat -encore une fois. Confettis, effets spéciaux et tout ce qui avec, rien n’a été oublié et c’est sous les applaudissements qu’il quitte la scène. Un set réussi.