Blind ou Goodbye – vous connaissez forcément un morceau de Feder. Devenu l’un des DJ les plus indispensables du moment, Feder a rejoint le line Up d’Electroshock naturellement. La salle est déjà surchauffée grâce à Julian Perretta et son fameux Miracle et lorsqu’il entre sur scène, il ne lui faudra que quelques minutes pour en venir à bout des dix mille personnes qui se déchaînent face lui.
.@julianperretta en live ! Cc @JulianPerrettaF #ElectroShock pic.twitter.com/EHEpw6jhXX
— Europe 2 Officiel (@Europe 2fr) 1 avril 2016
Parce que chez Europe 2, nous aimons faire les choses dans les règles de l’art, c’est Julian Perretta qui se charge d’aller faire monter la pression d’un cran supplémentaire. Venu pour défendre son dernier single -Miracle- le britannique s’est approprié la scène sans effort. La salle scande chaque parole et c’est dans un français presque parfait qu’il s’exprime. Il aime Toulouse et la ville le lui rend bien. Parce qu’un morceau, ça passe incroyablement vite, il chante une dernière fois avec le zénith avant de quitter la scène, sous les acclamations du public. Mais vous savez ce qu’on dit ; les meilleures choses sont les plus courtes.
L’interview de FEDER
« Quand un set plus petit, on compacte plus facilement mais l’émotion est la même », avait avoué Feder un peu plus tôt dans la journée. Or l’émotion, c’est exactement ce qu’il a partagé avec le public. Ses plus grands tubes se succèdent, de Blind à Goodbye et dire qu’il est en terrain conquis serait un euphémisme. Feder est à l’aise partout et même si un set plus petit ne lui fait absolument pas peur, il sait tirer son épingle du jeu.
la fin approche, on le sent mais ce n’est pas pour ça que la pression retombe ; bien au contraire. Le Set de Feder était aussi convainquant que celui de Marseille et pour ce cinquième Electroshock, le pari est tenu : show réussi. Avant lui, Synapson a célébré l’anniversaire de Paul et Fakear a envoûté la salle. Avant The Avener, le line-up a assuré.