Écrit par marinepn - Publié le 28 Jan 2016 à 23:03

Clou du spectacle, c’est maintenant à Robin Schultz d’entrer en scène. Grande tête d’affiche de la soirée, il était celui que tout le monde attendait comme le messie et lui aussi, il est à la hauteur de sa réputation.

Après une soirée pareille, on aurait pu imaginer que la foule serait lessivée, complètement achevée par un tel martèlement de prodiges. Sauf que c’est mal connaître Marseille qui est plus prêt que jamais à accueillir celui qui s’est fait connaitre avec Prayer In C.

Après un set incroyable par Lost frequencies, c’est au tour de Robin Schulz d’entrer en scène. Ce moment, tout Marseille l’attend depuis le lancement de la soirée et clairement, on sent dès le départ que son passage marquera plus d’une personne présence. Schulz est une référence, son morceaux ont connu un succès triomphal et dès qu’il commence à jouer, la soirée atteint son paroxysme.

Le morceau le plus acclamé, hurlé et scandé reste Prayer in C. Tube de l’été 2014, ce remix de Lilly Wood & The Prick est un hynme à lui-seul. L’artiste s’impose en leader incontesté de la soirée, mettant le Dôme à genoux. Là, à cet instant précis, toute la salle réalise que c’est l’apothéose de la soirée et que les quatre dernières heures n’étaient qu’un échauffement. Une armée de danseurs débarque sur scène, encerclant le DJ. Un jaune vif, des paillettes et une chorégraphie irréprochable – le show est incontestablement réussi. un peu de poésie au pays de l’électro ne fait de mal à personne.

Après quelques remixes parfaitement interprétés, Schulz dégaine Sugar en duo avec Francesco Yates, son dernier gros succès. Là encore, c’est l’explosion. Pour finir en beauté, il joue Are You With Me avant d’être acclamé par un Dôme en délire. Cette quatrième édition d’Electroshock se termine en beauté et que vous ayez vécu ce moment en live, que vous l’avez regardé depuis votre salon ou ailleurs, nous sommes sûrs que vous vous êtes sentis aussi vivants que nous.