Gorillaz, Massive Attack, Ofenbach, Depeche Mode, Angèle, Eddy de Pretto, OrelSan… pendant quatre jours, les meilleurs artistes français et internationaux se sont succédés sur les quatre scènes des Vieilles Charrues. Cette 27 ème édition a fait fort en proposant une programmation éclectique qui laisse autant de chance au petits groupes émergeants qu’aux frmations confirmées. Et dimanche, après les performanes remarquable de Gorillaz (le samedi), de Depeche Mode (le jeudi) ou encore de Coeur de Pirate et de Jain, le directeur et son équipe ont pris le temps de faire le bilan lors d’une conférence de presse. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est (encore une fois) un pari réussi pour le festival breton.
« Dès la rentrée, on a eu beaucoup d’envie. On a voulu continuer l’agrandissement du site, avec énormément de décoration pour conserver l’idée de parenthèse enchantée », déclare t-il. Et avec le thème de l’été indien, ses containers et sa parade éléphantesque, le festival a tapé dans le mille. Mais la déco, ça ne fait pas tout ! Il faut aussi tout miser sur la programmation et là aussi, les Charrues ont frappé fort. Gorillaz, Robert Plant, Kygo… des têtes d’affiches qui font envie mais aussi quelques coups de coeur comme Therapie Taxi, Angèle ou encore Rilès : « C’était un pari. Il a 22 ans, il n’a pas d’album et on l’a fait jouer à Minuit. Le public était en feu », se souvient Jeanne, la co-programmatrice.
Avec près de 120 000 billets vendus en deux heures, les Charrues avaient à coeur de ne pas décevoir. Et maintenant que la parenthèse est refermée, on réalise qu’une fois de plus, le festival a su convaincre ses festivaliers. L’an prochain, « le defi sera rendre la parenthèse encore plus belle » Rendez-vous les 18, 19, 20 et 21 juillet pour une édition 2019 qui, nous en sommes sûrs, sera aussi folle que celle-ci.