Le dernier jour de festival est crucial : il faut toujours terminer en apothéose pour donner envie aux festivaliers de revenir l’année suivante. Et ça, au Main Square, on l’a bien compris. Alors après FEDER, Depeche Mode ou encore Queen of the Stone Age, ce sont OrelSan, Justice, Jamiroquaï, IAM ou encore Loïc Nottet et Portugal The Man qui se sont succédés sur scène. Tout de suite, le best-of !
Le soleil et la chaleur sont (de nouveau) au rendez-vous lorsque Loïc Nottet prend ses quartiers sur la Main Stage. Et même au beau milieu de l’après midi, ils sont déjà nombreux pour l’applaudir. « On va essayer de vous divertir », lance t-il à la foule. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne fait pas le choses à moitié. En costume, avec ses danseurs, Loïc Nottet n’offre pas un simple concert : il donne un véritable spectacle : pointu, beau, épuré et divertissant, justement. Il défend au Main Square son premier album alors évidemment, quand Million Eyes retentit, chaque personne présente chante les paroles.
Portugal The Man et Tom Walker se chargent de réchauffer l’ambiance en attendant l’arrivée de Jamiroquaï. Sur la Main Stage, le britannique dégaine ses meilleurs morceaux – de Little L à Cosmic Girl. Son casque lumineux fascine toujours autant tandis que dans le public, on retrouve des festivaliers de toutes les générations.
Parallèlement, Justice entame son set sur la scène de la Green Room devant un public déjà bouillant. Et là aussi, c’est une avalanche de tubes : We Are Your Friends, Pleasure, Safe and Sound, D.A.N.C.E… Justice ne laisse aucun répit aux festivaliers qui se déchaînent au rythme des mixes.
Enfin, c’est OrelSan qui assurera la clotûre du Main Square. Venu défendre La Fête est Finie, le rappeur livrera un véritable show : Basique, La Pluie, Tout Va Bien, Défaite de Famille… tout l’album y passe mais, pas que ! Ils jouera également quelques titres issu de son précédant disque, Le Chant des Sirènes. Vers 1h du matin, les festivaliers ont pris le chemin de la sortie, encore électrisés par ce week-end.