Yuksek est l’un de ses artistes qui prouvent que la musique n’a pas de frontière ou de limites. Ce soir, il est sur la scène l’Electroshock et il a clairement fait tomber toutes les barrières du zénith - au sens figuré, entendons nous bien.
La particularité de Yuksek, c’est qu’il a étudié près de sept ans en conservatoire. Sept ans de conservatoire, ça veut dire sept ans de discipline, de rigueur et de technique, c’est sept ans passés à se surpasser. Cet héritage se ressent dans sa musique et ce soir, il montré qu’on pouvait venir du classique et réinventé les codes de la musique.
Place a @yuksek pour son 1er #Electroshock ! pic.twitter.com/gZSD3aHX42
— SANSURE.FR (@Sansure_fr) 6 octobre 2016
Pour son premier Electroshock, Yuksek n’aura pas mis longtemps à s’acclimater. En même temps, il n’est pas né de la dernière pluie et la scène, ça le connait. Comme la musique, d’ailleurs. Sur scène, le français enchaine ses titres et à en croire la foule qui bouge en rythme, ses remixes n’ont pas déçus, bien au contraire. Ce que l’on aime avec Yuksek, c’est que c’est son premier passage à Electroshock. Alors qu’Ofenbach en est à son deuxième passage ou que Synapson n’a pas manqué une audition, sa musqiue funky a un goût de nouveauté.
Son dernier EP (sorti le 23 septembre dernier) a été défendu avec brio devant quelques milliers de personnes et après un tel examen de passage, nous sommes sûrs d’une chose ; c’était son premier Electroshock mais certainement pas le dernier.