Écrit par juliebef - Publié le 15 Nov 2016 à 13:00

Justin Bieber n'est pas toujours compris par ses fans. Dans la bande annonce du film documentaire sur son chef de sécurité, il s'exprime sur sa relation parfois difficile avec eux...

Justin Bieber et ses fans, ce n’est pas une relation de tout repos. Malgré sa tournée géante autour du monde, la star limite les interactions avec eux : il a non seulement annulé ses rencontres habituelles mais a aussi déclaré ne plus vouloir prendre de photos en leur compagnie. Justin Bieber demande également régulièrement à ses fans de se taire pendant ses concerts. Mais ce n’est pas forcément une mauvaise volonté de sa part. Leurs réactions hystériques sont parfois difficiles à gérer. Mikey Arena, son chef de sécurité, explique dans la bande annonce du film sur sa profession Bodyguards combien ça peut être compliqué : « Je me rappelle quand j’ai commencé à travailler avec [Justin Bieber ]- ça peut sembler fou – mais trois ou quatre jeunes filles particulièrement excitées ont eu la force de déchirer son tee-shirt et d’arracher son pull à capuche. Et s’il y a une foule, on peut facilement le perdre. » Des fans qui se montrent néanmoins de plus en plus matures : « Maintenant que les fans ont vieilli, elles ont plus tendance à vouloir parler à Justin plutôt que de l’attraper et littéralement déchirer ses vêtements. Maintenant que les fans ont grandi avec lui, elles sont capables de venir le voir et de juste dire ‘Coucou Justin, comment vas-tu ?’ et de commencer tranquillement à discuter ».

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Un service de sécurité reste pourtant crucial pour la santé mentale et la sécurité de Justin Bieber, en concert intimiste dans un bar, qui se confie sur cette hystérie collective : « Avoir un service de sécurité m’aide à créer de l’espace, à imposer des limites et ça garantie ma sécurité. Plus les fans grandissent et commencent à mieux se connaître, plus ils comprennent mieux comment se comporter et ils veulent se comporter de manière plus saine pour pouvoir attirer mon attention. Parce que si à un moment, on hurle et que c’est un peu trop, c’est dur pour moi de vouloir parler avec vous.