Avis à tous ceux qui ne savent plus quoi regarder sur Netflix : on a trouvé la série à ne surtout pas manquer. Tout de suite, 3 raisons de se mettre à La Casa De Papel !
On ne vous fera pas l’affront de vous présenter Netflix : la plateforme qui sauve vos soirées autant qu’elle ruine votre vie sociale a déjà fait ses preuves en matière de série et ce, dans les tous les genres possibles (Jessica Jones, 13 Reasons Why ou encore Stranger Things ont clairement marqué les esprits). Et ce qui est cool avec Netflix, c’est qu’il y a toujours une nouvelle série à regarder (vous qui pensiez pouvoir enfin renouer avec vos potes, oubliez de suite). Au programme cette fois, une production espagnole : la première saison de La Casa de Papel est sortie discrètement en novembre dernier et il ne lui aura pas fallu longtemps pour se faire une place parmi les meilleures séries. Et si vous n’avez pas encore commencé, on vous donne 3 raisons de vous y mettre – parce qu’on est (vraiment) sympa.
#1. SUSPENSE
La série repose sur un braquage mais pas n’importe lequel – c’est THE braquage (celui de la fabrique de monnaie espagnole, rien que ça) . Le tout est orchestré par « Le Professeur », un homme qui, evidemment, est capable d’anticiper chaque mouvement de la police. Pour réussir son casse, il a réuni les meilleurs braqueurs dans une maison de campagne loin de tout, histoire de les préparer au maximum. Pour faire simple, imaginez Ocean’s Eleven en version série espagnole (et c’est quand même un peu plus rock ‘n’ roll que Un, Dos, Tres). C’est intelligent, haletant et bien mené. Bref, tiercé gagnant.
#2. GOOD VS. BAD GUYS
Le plus souvent, quand on voit un braquage ou n’importe quelle autre agression dans une série, on a tendance à se placer du côté des victimes. Le truc, c’est que là, votre pauvre coeur va balancer un peu. Les braqueurs traitent leurs otages de façon relativement gentille et parce qu’on suit leur parcours du début à la fin, on est bien obligés d’admettre que parfois, on est de leur côté. Attendez-vous à passer quelques soirées à philosopher sur le Bien et le Mal, donc.
#3. C’EST ADDICTIF
On préfère vous prévenir : démarrer le premier épisode, c’est comme mettre son nez dans un paquet de cookies. Traduction, vous allez enchaîner les premiers épisodes d’un coup et ne rien comprendre à votre propre vie. Le seule ombre au tableau, c’est que le final de la première partie ne livre pas toutes les réponses attendues : il faudra patienter jusqu’à avril (jusqu’au 6, plus précisément) pour découvrir la suite.
La bonne nouvelle, c’est qu’il vous reste quelques semaines pour vous mettre à jour !