Pour commencer le week-end du bon pied, rien de mieux qu’une grasse matinée ! Ce slogan – inventé de toutes pièces – résume pourtant à merveille notre état d’esprit quand nous nous mettons au lit le vendredi soir. Eh bien des chercheurs américains ont démontré que faire des nuits plus longues serait nocif pour la santé. C’est le site medisite qui relaie cette information en incombant la faute à une différence trop importante entre le réveil durant la semaine et celui du week-end. L’étude démontrerait que cet écart aurait le même impact sur votre corps que celui d’un décalage horaire. Alors oubliez le hashtag » #LaVieestPlusBelleQuand on peut faire la grasse mat' », cette philosophie peut vous coûter cher.
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Les conséquences négatives sont en effet nombreuses : diabète, cholestérol ou tour de taille plus élevé. Les scientifiques ont même trouvé un nom à cet écart de réveil : le « social jetlag ». Ce décalage horaire social est défini comme l’inadéquation entre le rythme biologique naturel d’un individu et « l’emploi du temps du sommeil socialement imposé » selon Patricia M. Wong l’une des scientifiques associés à l’étude. Sans doute faut-il moins dormir au risque pour les femmes d’être plus grincheuses que les hommes au réveil que de développer du diabète à trop dormir les week-end. Ce n’est pas simple tout ça !