Dans un monde régi par les applications et les réseaux sociaux, on s'épuise vite. Et si vous lâchiez tout ça ? Et si vous lachiez prise ? Testez le "Jomo" !
Késako ? On vous l’accorde, dit comme ça, le « Jomo » sonne presque comme un sport de combat impraticable tout droit venu d’Asie. Mais, non. Le « Jomo », c’est l’acte de se libérer totalement des réseaux sociaux, de lâcher prise et d’enfin arrêter de scruter les infos (et la vie des autres) en temps réel. Dans un monde comme le nôtre, un monde où le burn out amoureux est une réalité et où la nouvelle Free box est presque plus intelligente qu’un être humain, difficile pourtant de se détacher des réseaux sociaux. Mais on vous le promet, c’est possible.
Pourquoi le « Jomo » ? Tout simplement pour répondre au « Fomo » (fear of missing out / la peur de rater). Avec le « Jomo » (joy of missing out/ la joie de rater) on se détache complètement du 2.0, on déconnecte absolument tout – sans voir peur. « On se moque ostensiblement de rater le before Machin, le vernissage Truc ou la soirée Muche ; d’ailleurs, personne ne sait où l’on est ni ce qu’on fait, car désormais on coupe toute connexion tous les soirs après 19 heures. Et on trouve ça très hype », peut-on lire dans Madame Figaro.
Côté bienfaits, la liste est longue : quand on se déconnecte enfin, on se retrouve soi-même, pour commencer. Mais, ce n’est pas tout ! Passer moins de temps sur les réseaux (et partager moins) permet -evidemment- de passer plus de temps en famille. Et petit bonus, vous vous rendrez désirable : tout le monde se demandera où vous êtes, tout le monde voudra vous voir.
Alors, on s’y met quand ?