Bienvenue Chez Clément – Afterwork Europe 2 Qui Fait Peur : Ces histoires inexpliquées qui nous font flipper

Tremblez, auditeurs ! Ce matin, Camille et son équipe vous ont réservé une émission spéciale Halloween et pour l’occasion, quelques histoire inexpliquées (et flippantes) ont été ressortie des cartons.

Vous ne le connaissez peut-être pas mais Joslan Keller a déjà publié quelques ouvrages dans lesquels ils s’interroge sur les histoires inexpliquées. Présent dans l’émission ce matin, il a partagé avec l’équipe quelques histoires qui font froid dans le dos. Et pour les plus cartésiens, sachez qu’aucune explication logique n’a été fournie. Au moins, vous êtes prévenus !

La chaise maudite de Thomas Busby

On commence avec La chaise maudite de Thomas Busby. Actuellement, cette fameuse chaise est exposée dans un musée britannique. Mais avant de devenir un objet de collection, elle en a fait trembler plus d’un. Nous sommes en 1 700 (à Thirsk) et tout commence lorsqu’une jeune fille décide d’épouser Thomas Busby. Ce dernier travaillait avec son beau père mais parce qu’il était violent et alcoolique, l’une de leur dispute a mal tourné – Thomas Busby a assassiné son beau père. Jugé et condamné à la pendaison, ce dernier a demandé à boire une dernière bière avant de mourir. Après ça, il a juré que quiconque s’assiérait sur sa chaise mourrait dans d’atroces souffrances. Pendant plusieurs siècle, personne n’a osé braver la malédiction. Mais forcément, la chaise est devenue une attraction à touriste – parce que les habitants défiaient ces derniers. Pendant la seconde guerre mondiale, deux aviateurs canadiens relèvent le défi… mais ils meurent quelques heures plus tard dans un tragique accident de voiture. Quelques années plus tard, c’est au tour d’un ouvrier d’être victime de la malédiction. En 1970, alors que le propriétaire de l’auberge a descendu cette fameuse chaise dans sa cave, la malédiction frappe de nouveau. Il n’en faudra pas plus pour que propriétaire vende la chaise. Depuis, l’auberge est redevenue un endroit où il fait bon vivre. La chaise, elle, est suspendue dans un musée… à deux mètres de hauteur.

Les randonneurs russes

Les randonneurs russes Maintenant, direction le col Dyatlov. Nous sommes en 1959 et neufs randonneurs décident de partir en excursion. Une nuit, tous ont quitté leur tente en catastrophe, laissant vêtements et vivres en plan. Les secours, alertés par les familles, retrouvent ainsi des traces dans la neiges. A l’entrée du bois, deux corps sont retrouvés – tous deux ne portent pas de chaussures et simplement des sous vêtements. Cinq autres corps sont retrouvés un peu plus loin et les autres seront retrouvés un peu plus tard, sous la neige. On notera que l’une des femmes à la langue coupée. Le souci, c’est qu’aucune hypothèse n’explique leur mort. Tests militaires, sons, créature féroces.. Rien n’explique cette étrange histoire.

En france

1965. Maurice Masse est un agriculteur et tous les matins, il part travailler tôt. Un jour, à cinq heures, il entend un sifflement puissant et étrange. Lorsqu’il rejoint l’un de ses champ de lavande, il tombe sur un ovni et deux êtres humanoïdestous deux étant en train d’examiner la lavande. L’un des petit êtres aurait brandi un bâton, ce qui l’aurait paralysé sur place. Après ça, l’agriculteur les voient échanger (discuter, si vous préférez) avant de regagner l’ovni. Ce n’est que 15 minutes plus tard qu’il retrouvera ses facultés. On notera que depuis cette histoire (survenue il y a 50 ans), plus rien n’a jamais repoussé à cet endroit.

L’esprit frappeur

Novembre 73. Un adolescent prénommé Dominique signale que des coups sont donnés tous les soirs dans sa chambre entre 19 heures et 20 heures. Forcément, la police est alertée. le l’adjudant en charge de l’affaire confessera avoir constaté le phénomène et attestera même avoir échangé avec l’esprit en question. « On lui a demandé les arrivées du tiercé, qu’il a donné d’ailleurs. Il était aussi capable de rythmer des marches militaires, ou des chansons de Marie Laforêt. Il a répondu à des questions très personnelles que je lui ai posées. Bref, c’était véritablement déstabilisant. Mes gendarmes étaient, du reste, perturbés », explique t-il. L’adjudant poursuit : « Forcément, on a mené une enquête sérieuse. On a fait des planques. On a placé des gendarmes partout, à l’étage, derrière la cloison, au sous-sol, dans le jardin. Rien, il n’y avait rien. Je suis sûr d’une chose, il n’y avait pas de trucage, pas de supercherie ».

En espérant ne pas vous avoir fait trop peur. Si jamais vous voulez poussez le vice, voici un mash up des films qui font sursauter en 9 minutes. Et bonne journée, surtout !

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