Et si l’infidélité était héréditaire ?

Penchons nous sur le cas des infidèles si vous le voulez bien. Des chercheurs se sont penchés sur l’épineuse question de l’hérédité dans l’infidélité. Explications sur europe2.fr.

Il y a quelques temps déjà, nous vous parlions des signes du Zodiaque les plus infidèles. Aujourd’hui, nous revenons sur le sujet. Techniquement, on ne peut pas expliquer ce phénomène : les sentiments ne se contrôlent pas, paraît-il. Seulement, des chercheurs australiens ont décidé de chercher une raison scientifique à ce comportement et contre toute attente, ils y sont parvenus. Résultat, l’infidélité serait héréditaire. En effet, l’étude reprise par le Telegraph explique qu’il y aurait un gène de l’infidélité. Oui, un gène. Le coupable se nommerait AVPRIA et serait donc responsable du comportement infidèle des individus.

Comment sont-ils parvenus à de tels résultats ? Tout simplement en étudiant le comportement de 7300 jumeaux âgés de 18 à 49 ans. Autre critère, tous étaient déjà engagés dans relation amoureuse longue durée. Niveau résultat, 9,8% des hommes et 6,4 % des femmes interrogés ont admis avoir eu deux partenaires sexuels différent au cours de l’année précédent l’enquête. A partir de là, ils ne restaient plus qu’à déterminer s’il s’agissait de vrais ou de faux jumeaux. De vrais jumeaux partageant le même patrimoine génétique, les scientifiques pouvaient donc évaluer si vous ou non, la science pouvait expliquer l’infidélité. Au final, l’étude révèle que 63 % des hommes et 40 % des femmes seraient infidèles en raison de leurs gènes. Voilà qui est rassurant… ou pas !

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