La scène des Arènes de Mereen est encore dans toutes les mémoires, nous amenant à nous demander si Daenerys peut vraiment s’en sortir dans l’ancienne cité esclavagiste. Elle a déjà perdu Ser Barristan et de nombreux Immaculés à cause des assassinats des Sons Of The Harpy. Le massacre des arènes est une énième preuve que Daenerys n’est pas la bienvenue à Mereen, quoi qu’elle fasse. Tuant dans l’anonymat le plus total, leurs visages étant dissimulés derrière d’inquiétants masques dorés, les Sons Of The Harpy veulent instaurer un climat de terreur à Mereen afin de chasser Daenerys. Même si leurs identités demeurent inconnues, nous nous doutons que les membres de cette secte sont les anciens nobles de la ville.
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Nous savions que les Sons Of The Harpy étaient nombreux. Ils sont en réalité très nombreux. Entraînés aux techniques d’assassinat et au combat, les membres de la confrérie agissent dans l’ombre avant de frapper un grand coup pour envoyer des messages sanglants à la Mother Of Dragons. Sauvée de justesse par l’intervention de Drogon, à qui nous avions rendu hommage avec 20 gifs, Daenerys pourrait bien subir encore plus de pertes si elle reste à Mereen. Cette confrérie est organisée, dispose de moyens financiers importants, et sa détermination est totale. Malgré le retour des combats d’arènes et les noces qui étaient prévues avec Hizdhar Zo Loraq (tué par cette confrérie), les Sons Of The Harpy ne parlent que par le sang.
Les Sons Of The Harpy suscitent beaucoup d’interrogations : Qui est leur leader ? Au nom de quoi agissent-ils ? Sont-ils seulement présents à Mereen ou sont-ils déployés sur l’ensemble du continent d’Essos ? Cette secte d’assassin aristocrate est devenue en quelques épisodes un enjeu crucial de la série d’HBO, qui décidera de l’avenir de Daenerys. La démonstration de force de Drogon devrait toutefois calmer les ardeurs des Fils de la Harpie pour un bon moment… A moins que la population apeurée ne décide de prendre son destin en main et de chasser Daenerys, quitte à revenir à l’esclavage pour stopper les trop nombreux massacres.