Inflation oblige, de nombreux français changent leurs habitudes – une façon de faire face à la crise. Or, les célibataires subissent ces augmentation de plein fouets. Ainsi, des sondages menés par des applis de dating telles que The Inner Circle ou encore Meetic en viennent à cette conclusion : les célibataires font attention à leur budget – surtout lorsqu’il s’agit de partir en date.
Il faut dire qu’un premier date peut vite s’avérer onéreux : un verre, un cinéma, le tout suivi d’un restaurant… le prix de la soirée monte vite : « En 2017, une étude britannique avait estimé que la dépense moyenne pour un rendez-vous galant au Royaume-Uni était de 129£, soit plus de 150 €, explique « The Guardian » », lit-on dans les colonnes de Elle. Alors que l’inflation s’installe, une autre étude vient confirmer « que 41 % des célibataires deviennent plus pointilleux sur les endroits où ils vont et ce qu’ils font lors de leurs rendez-vous ».
Mais alors, qu’est-ce que cela change concrètement ? Eh bien, les célibataires choisissent des dates plus simples – des dates qui, sur le papier, coûtent moins cher : une promenade, un pique-nique… les possibilités sont multiples. Parce que le célibat a un prix, nombreux sont ceux qui, par exemple, vont attendre leur paie pour programmer un date – une façon de moins regarder à la dépense.