Novembre est là, il est temps de sortir la collection de films de Noël ! Chaque année, les plateformes nous offrent leur lot de films spécial Fêtes (difficile d’ailleurs de faire l’impasse sur Falling For Christmas, avec Lindsay Lohan à découvrir sur Netflix). Mais parfois, rien ne vaut les bons vieux classiques : accrochez-vous, Love Actually, film de Noël culte où tous les acteurs de Grande-Bretagne (ou presque) se croisent, célèbre cette année ses 19 ans. Oui, on prend un sacré coup de vieux mais non, on ne va pas s’empêcher de le (re)voir. Encore.
En attendant de sortir un plaid et des pop-corn, voici pas moins de trois choses à savoir sur Love Actually :
- Joe Alwyn a auditionné pour le rôle de Sam
Sam et son crush pour Joanna sont (presque) le coeur du film. Alors que le rôle culte est tenu par Thomas Brodie-Sangster, il faut savoir que Joe Alwyn (connu pour sa prestation dans Conversations With Friends) a auditionné pour le rôle : « Je ne l’ai pas eu au final, évidemment, mais je me souviens avoir rencontré Hugh Grant et Richard Curtis et de m’être assis pour lire quelques scènes », confiera plus tard le petit ami de Taylor Swift.
- Keira Knightley porte une immense casquette pour… cacher un bouton
On aurait pu blâmer les années 2000 pour cette casquette XXL. Mais, visiblement, Keira Knightley cachait un bouton : « J’avais un énorme bouton au milieu de mon front », s’est souvenu l’actrice au micro de BBC Radio 1. « C’est le problème lorsque l’on a 17 ans et que l’on joue dans des films ! C’était énorme, alors je n’ai pas eu d’autre choix que de trouver un chapeau pour le couvrir – parce qu’il n’y avait pas d’éclairage ou de maquillage pour y parvenir ».
- Andrew Lincoln a lui-même écrit les panneaux qu’il présente dans le film
La scène culte où Mark confie ses sentiments à Juliet via des pancartes a bien failli ne jamais voir le jour. Et, dieu merci, ce fut le cas ! Mais ce qu’il faut savoir, c’est que Andrew Lincoln lui-même a écrit sur les panneaux : « C’est mon écriture ! », a déclaré Lincoln à Entertainment Weekly. « C’est drôle parce que c’est le département artistique qui l’a fait, et ensuite j’ai dit : » Bon, je peux le faire ? » parce que j’aime à penser que mon écriture est vraiment bonne. En fait, j’ai fini par devoir tracer par-dessus celle du département artistique, donc c’est mon écriture, mais avec une sorte de crayon en dessous. »
Si après avoir lu ces lignes vous avez envie de lancer le film pour ce qui sera probablement la millième fois, pas de panique : nous aussi.