Nous n’aurions qu’une chance sur 285 000 de trouver l’amour…

Pour cette étude, il faut remercier Peter Backus, professeur à l’université de Warwick (Angleterre). Après trois ans de célibat, le chercheur nous sort une équation qui, selon lui, explique tout.

Une chance sur 285 000 de trouver l’amour ?  C’est ce que semble affirmer Peter Backus, professeur à l’université de Warwick. Célibataire depuis quelques temps (trois ans, plus précisément), ce dernier a choisi d’appliquer l’Equation de Drake « une célèbre formule mathématique utilisée à l’origine pour estimer l’existence d’une vie extraterrestre » (selon Grazia) pour expliquer le désert de sa vie amoureuse. 

Résultat ? Ce dernier s’est aperçu que sur 30 millions de femmes au Royaume-Uni, seules 26 pourraient lui convenir. Oui, c’est peu. Pour la science, le scientifique de 30 ans a ainsi appliqué son équation en impliquant les femmes de 24 à 34 ans qui vivent à Londres et qui sont célibataires : « Sur une sortie dans Londres, il y a donc 0,0000034% de chances de rencontrer une de ses filles. Cela équivaut à 1 chance sur 285000, donc ce n’est pas génial », détaille t-il ainsi. Et ce n’est pas tout ! Avec humour, il ajoute que « cette étude peut paraître déprimante aux gens qui cherchent l’amour, mais il y a une bonne nouvelle pour les célibataires : c’est sûrement pas de votre faute ! »

Parce qu’on n’a pas attendu Peter Backus pour savoir que les célibataires ne sont pas « fautifs » d’être seul(e)s, on vous conseille vivement d’oublier cette étude. Comme diraient nos confrère de chez Grazia, « les chiffres, on s’en fout ! »

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