Après six ans de bons et loyaux services, Pretty Little Liars se poursuit sur ABC Family (sachez d’ailleurs que la chaîne troquera son nom actuel pour « FreeForm » en janvier prochain). Maintenant que l’intrigue concernant -A n’est plus et surtout, maintenant que les Liars ont surmonté tout et n’importe quoi avant même d’avoir atteint la majorité américaine, pourquoi faudrait-il s’accrocher et continuer de regarder ? Cette question, de nombreux internautes se la posent et pourtant, en cherchant bien, il y a toujours une bonne raison de répondre présent le mardi soir (ou le mercredi matin- au choix) .
Five Years Forward
On ne le répètera jamais assez, le Time Jumping est bien souvent la meilleure chose qui puisse arriver à un show. Pretty Little Liars vient de sauter le pas et rien que pour voir ce qu’elles ont bien pu accomplir en cinq ans, il ne faut pas manquer la seconde partie de saison. Même si parfois les trailers nous prennent pour des imbéciles il faut reconnaitre que plus il y a de péripéties, plus il y a de clients. Subiront-elles pire que dans les saisons précédentes ? Réponse en janvier.
Les répliques
On ne les relève que très rarement mais les dialogues sont toujours très bien choisis. Hanna n’a pas sa langue dans sa poche (et aucune autre, d’ailleurs) et bien souvent, elles savent lancer le bon missile au bon moment. Comme le souligne Wetpaint, « même dans les pires situations, les dialogues font la différence. »
« Friendship never ends » – Spice Girls Tribute
Enfin, parce que c’est une histoire d’amitié. En six ans, elles ont traversé le pire et le meilleur ; elles se sont battues contre tout et n’importe quoi. La relation des Liars, c’est un peu la preuve qu’une amitié peut survivre à tout. Par exemple, si Taylor Swift et Katy Perry la suivaient, elle sauraient qu’il y a bien pire qu’une histoire de danseurs – les histoire de meurtre, par exemple. Leurs liens sont forts et même si beaucoup ont un coeur de glace (je plaide coupable), il faut reconnaître qu’elle savent y faire pour attendrir l’audience.