On l’oublie souvent mais des situations dignes de The Wlaking Dead peuvent se retrouver dans la vraie vie. Par exemple, il existe un véritable syndrome The Walking Dead, un syndrome que voudrait que les patients atteints soient persuadés qu’ils soient morts. Ca, c’est une réalité. Mais dans un autre registre, une étude relayée par le Figaro («Infections zombies : épidémiologie, traitement et prévention») s’interroge sur le virus comme il est montré dans la série. Imaginez cinq minutes vivre dans un monde apocalyptique ou les zombies font partie de notre quotidien ; comment vivrions-nous ?
Selon Tara Smith (épidémiologiste ), les symptômes seraient les suivants : agressivité, envie de chair et de sang, gémissements et démarche dite « trainante » et tous les adeptes de la série seront d’accord. Pas besoin d’être bon en sciences pour établir ce diagnostic, regarder un seul épisode suffit. Le problème, c’est que si un jour, un tel scénario se réalisait, la science serait impuissante. En effet, elle « déplore l’existence d’un remède » – voilà qui est rassurant. vraiment.
Tara Smith explique également que contre toute attente, tous les zombies ne sont pas de simple épaves dont le corps pourrit : «dans des cas rares, les zombies peuvent être hautement intelligents, et avoir conscience d’eux-mêmes». Tout ne serait pas perdu, donc. Bien sûr, elle poursuit que dans un tel cas, il faudrait pouvoir séparer les personnes contaminée des autres (forcément) mais que les « pays ne sont pas préparés à ça ». Par exemple, si une personne tuait un zombie pour se protéger d’une éventuelle contamination, faudrait-il la mener en justice ? Question délicate et difficile. Encore une fois, tout cela n’est pas à prendre au sérieux ; Jusqu’à présent, The Walking Dead relève de la fiction et sera de retour sur AMC en février pour la seconde partie de la saison 6.