Le porno est un sujet qui divise dans le monde du travail. Alors qu’une entreprise offre une nuit avec une actrice porno à son employé de l’année, un salarié de la municipalité de Baltimore est aujourd’hui au chômage à cause de la pornographie. Sa faute ? En deux semaines de travail, il a passé 39 heures à regarder des films coquins sur un total de 82 heures de présence à son bureau… C’est le Baltimore Sun qui nous rapporte cette histoire pour le moins insolite, respectant l’anonymat du salarié licencié. Cet employé du service des eaux usées de la ville du Maryland a été la cible d’une plainte anonyme, ce qui a amené la direction à se pencher sur son cas en installant un logiciel de surveillance sur son PC. Le rapport établi par l’inspection du travail nous apprend même que lors d’une journée de travail de 8h, l’employé en question a passé 6h et 46 minutes à visionner du porno ! Peut-être qu’il ne comprenait pas l’histoire…
Plus surprenant, nous apprenons que la majorité de films X venaient de la collection personnelle de DVD de l’employé municipal, collection qu’il amenait au bureau ! Le rapport est accablant, comme le montre ce passage sur le mode full screen « Les films étaient visionnés en mode plein écran. Aucun travail n’était donc accompli lorsque le contenu pornographique était visible à l’écran ». Nous espérons pour ses anciens collègues que ce mystérieux salarié ne travaillait pas dans un open space… On ne sait pas encore s’il devra rembourser des mois de salaires pour sa conduite, l’enquête n’a pas encore permis de déterminer depuis combien de temps ces petites séances de visionnage avaient lieu. Le rapport fait toutefois une projection inquiétante (mais assez drôle il faut l’admettre) : Sur 2000 heures de travail annuelles, l’employé aurait visionné 951 heures de porno si jamais il a gardé le rythme qui l’a fait inculper. Ça commence à faire beaucoup même si on ne comprend pas l’histoire. Il peut toujours casser son PC et contacter Pornhub, on ne sait jamais.