Calum Scott, « lumineux » pour son premier show à Paris (report)

Hier soir, Calum Scott est venu défendre son premier album à Paris. Et dire que le YOYO était plein serait un euphémisme. 

Calum Scott a fait du chemin depuis Britain’s Got Talent. Le jeune britannique a conquis le monde avec sa reprise de Dancing On My Own (plus de 200 millions de streams à travers le monde, rien que ça) mais cette fois, il compte bien séduire avec son premier opus, Only Human. Il était donc de passage dans notre capitale hier soir (pour le plus grand bonheur des fans venus l’applaudir). Après une première partie assurée par la pétillante Barbara Pravi et l’énergique Daniel Docherty (talent qui nous vient tout droit d’Ecosse), Calum Scott arrive sur scène sous les acclamations. Et il ne lui aura fallu que quelques secondes pour se mettre la salle dans la poche.

Il commence avec Come Back Home, un titre qui, vous vous en doutez, fait écho à la petite ville du nord de l’Angleterre qui l’a vu grandir. Si l’album de Calum Scott est poignant, il est surtout incroyablement honnête. Et d’ailleurs, on le ressent encore plus avec la version live de Only Human (qui, forcément, a donné son titre à l’album). Il poursuit avec Rythm Inside ou encore You Are The Reason. A l’aise sur scène, Calum Scott intéragit avec son public qui lui répond aussi (qui a dit que les français ne comprenaient pas l’anglais ?!). S’il reconnait que son album « a fait pleurer » la plupart de ceux qui l’ont écouté, il ne livre pourtant pas une performance triste – bien au contraire. C’est rythmé, énergique, pop. Bref, c’est un tiercé gagnant.

La session acoustique qui suit apporte une petite vague de calme (et après l’énergique Good To You, il ne pouvait pas mieux enchaîner), lui permettant de partager un beau moment avec son public. S’enchaînent ensuite tous les titres qui composent le premier opus. Dans la salle, on chante, on danse et profite de chaque titre. Il poursuit avec Won’t Let You Down ou encore What I Miss Most. Evidemment, il a gardé le titre que tout le monde attendait pour la fin : Dancing On My Own met le point final à un show intimiste, certes, mais qui n’avait rien à envier à un Bercy. Il n’était pas revenu à Paris depuis Taratata mais on attend déjà de pied ferme le prochain passage de Calum Scott !

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