En 2020, trois ans après l’immense succès de Liberté chérie, l’un des artistes préférés des français faisait son grand retour avec Centre ville, son dernier opus. Porté par le succès des titres La rumeur ou Celui d’en bas, ce projet semblait surtout faire le bonheur de Calogero : « Je suis tellement heureux de sortir cet album que je n’ai pas d’angoisse particulière. Je suis juste content, je vis mon époque, il y a de nouvelles choses, des nouveaux artistes, ça me rend heureux de faire découvrir des chansons. Il y a beaucoup de joie dans cet album, d’inquiétude aussi, avec des réflexions sur le monde qu’on vit actuellement » confiait-il alors à Pure Charts. Un enthousiasme qui lui a été bénéfique puisque l’album Centre ville a été certifié disque de platine avec plus de 150 000 exemplaires écoulés. Pas de quoi abasourdir l’interprète de En apesanteur qui demeure, depuis près de deux décennies, l’un des plus gros vendeurs de disques en France.
Alors qu’il s’apprête à remonter sur scène dès cet été pour défendre enfin son dernier opus, Calogero en a profité pour dévoiler le clip de C’était mieux après, que l’on retrouve également dans cet album. Une chanson dans laquelle l’artiste nous invite à nous pencher sur les choses qu’on rate au cours de notre vie : « Combien d’amours ratés par heure ? Combien d’instants loupés par peur, Parce qu’on ne se sent jamais prêt ? À tout remettre au lendemain ». Réalisé par le célèbre photographe Marcel Hartmann, cette vidéo nous transporte dans un univers psychédélique où l’artiste, armé de sa guitare fluorescente, interprète son titre devant un panneau sur lequel défilent des images de personnages célèbres, en rapport avec le temps qui passe.
Le clip :
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