Christine and The Queens fête le premier anniversaire de Chaleur Humaine

Chaleur Humaine, le premier album de Christine And The Queens est sorti il y a un an ! Une année qui a tout changé pour la chanteuse, provoquant un véritable raz de marée dans l’industrie musicale française (et bientôt internationale). Toujours très proche de ses fans, Christine de Christine and The Queens, qui s’est aussi racontée pour Pitchfork, a voulu leur rendre hommage dans un texte sur sa page Facebook. Elle y évoque en prose ses concerts, ses chansons, ses rencontres; tout ce qu’a été pour elle cette année de Chaleur Humaine. europe2.fr vous dévoile ce texte ci-dessous… Avec ces mots, on réalise combien cette année a été un tourbillon d’émotions, dont elle ne semble pas toujours revenir : « Quelques idées bizarres qui ont obtenu un laisser-passer. Chaussures fétiches sur sols instables, de verre ou de béton. Petites salles, plein air, plateaux de télévision. Qui aurait cru que nous danserions aussi longtemps ? Certains mouvements sont devenus des réflexes, comme une nouvelle langue – je ne me tairai plus ! « 

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Christine And The Queens, qui aurait déjà de nouvelles chansons en préparation, évoque le public aussi varié que nombreux qui la suit de ville en ville : « Il y a les Half-Ladies, que je reconnais d’instinct, Les enfants, qu’on laisse danser tout devant, Les babes lumineuses qui s’ambiancent par grappes, Les jeunes garçons discrets qui me sourient, Les couples et les fratries, Les dames qui n’accompagnent personne et qui ondulent sur Nuit 17 à 52, Les messieurs qui acquiescent doucement quand le piano arrive, Les créatures indécidées, Les excellente santé, les tristesse, les je venais découvrir, les hésitants, les étonnés, les ravis qui me hèlent, les qui laissent des gourmandises et des lettres ». Un public qu’elle remercie vivement avec un bouquet de fleurs, comme celui sur la pochette de Chaleur Humaine. C’est sa plus belle surprise : « La tienne, la plus belle, a été de m’avoir offert cette année fabuleuse, au-delà de toute espérance. Merci, merci et encore merci à toi »