« Je voudrais être déjà morte ». Voilà ce que la chanteuse aurait révélé à Tim Jonze, journaliste au Guardian. Après de tels propos, pas étonnant que la toile ne se soit enflammée ! Alors que Lana Del Rey est au sommet avec Ultraviolence, l’album de la consécration, ce genre de déclaration n’est pas tout à fait des plus appropriées. Selon le journaliste, ces propos seraient venus dans la conversation, alors que Lana Del Rey évoquait Kurt Cobain et Amy Winehouse, tous deux décédés à 27 ans. Pour Tim Jonze, la chanteuse voit un certain « glamour » dans l’idée de mourir aussi jeune. Dans sa version, il aurait sommé la chanteuse de « ne pas dire ça » tandis qu’elle persistait dans ses propos. Cependant, la jeune Américaine tient un tout autre discours et ne s’est pas privée de le faire savoir via son compte Twitter : « Je n’aurais pas dû faire confiance au Guardian », déclare-t-elle.
Si les Tweets sont maintenant supprimés, la chanteuse a continué sur sa lancée : « Je ne voulais pas faire d’interview mais le journaliste était insistant. Peut-être est-il inintéressant et qu’il cherche quelque chose à dire. Ses questions sur la mort étaient calculées. » En d’autres termes, pour elle, toute cette histoire n’est que manipulation et Tim Jonze cherchait à lui faire dire exactement ce qu’il voulait entendre . Alors même si cette simple phrase a eu l’effet d’une bombe sur le moment, l’impact n’a pas été aussi destructeur puisque cela n’a pas porté préjudice à l’accueil réservé à Ultraviolence. D’ailleurs, à voir Lana Del Rey dans le clip de Shades Of Cool, il n’y a pas d’inquiétude à avoir : Elle y apparaît plus vivante que jamais.