Alors qu’elle prépare activement la sortie de son deuxième album (Short n’ Sweet), Sabrina Carpenter compte bien profiter de l’été pour squatter les classements : après le succès incontestable d’Espresso (dévoilé en avril dernier), celle qui, récemment, ouvrait les concerts internationaux de Taylor Swift a dévoilé Please Please Please le 7 juin dernier – de quoi la faire monter un peu plus dans les classements. Et justement, les chiffres vont clairement en sa faveur : Selon Luminate, le morceau a cumulé plus de 5,7 millions de streams officiels aux États-Unis et ce, au cours des quatre premiers jours de sa sortie. Et, ce n’est pas tout ! Le 10 juin, les streams plafonnaient à 7,77 millions. Impressionnant.
La recette Carpenter
Produite par Jack Antonoff en personne (Bleachers, Taylor Swift, Lana Del Rey), Please suit les traces d’Espresso avec la recette parfaite du tube. Il faut dire que depuis quelques mois, Sabrina Carpenter collectionne les succès : si ouvrir l’Eras Tour a clairement permis à l’artiste américaine de grimper en popularité, la présence de Barry Keoghan dans le clip de Please Please Please a largement contribué à son succès. Bonus, le morceau s’est offert une trend sur les réseaux sociaux grâce aux paroles : ainsi, si vous scrollez sur Tik Tok ou Instagram, vous verrez forcément des utilisateurs s’approprier “Heartbreak is one thing, my ego’s another/ I beg you, don’t embarrass me, motherf–ker » (que l’on peut traduire par « Avoir le coeur brisé est une chose/mon ego en est une autre/ Je t’en supplie/ Ne me fais pas honte motherf-ker ») : résultat, le son officiel a été utilisé près de 32,6000 fois sur les plateformes – et encore, on ne parle pas des autres.
Tout ça pour dire qu’en quelques jours seulement, le catalogue entier de Sabrina Carpenter a vu ses écoutes bondir avec une progression de 35% – preuve de son ascension. A compter du 23 août prochain, il sera probablement difficile de faire un pas sans entendre parler de Sabrina Carpenter : la jeune artiste protégée de Taylor Swift bat toujours plus de records et prouve que la pop feminine a encore de beaux jours devant elle.