Stromae évoque Multitude pour Télérama : « Ce disque est comme je voulais »

Le 4 mars prochain, Stromae publiera le digne successeur de Racine Carrée. Pour Télérama, l’artiste s’est confié sur Multitude. 

Stromae est de retour et, plus fort que jamais : après une longue pause (ponctuée de projets et de collaborations), l’artiste belge s’est offert un retour parfaitement calibré avec le single Santé. Dire que le morceau a battu des records serait un euphémisme et c’est sans surprise que Stromae a annoncé que ce premier morceau défendrait l’album Multitude – prévu pour le 4 mars. Entré dans la valse de la promo, Stromae s’est offert une performance chez Jimmy Fallon avant de rentrer en France pour dévoiler L’Enfer – un morceau aussi poignant que personnel. Pour rappel, l’interprète de Alors on Danse avait profité de son passage au journal de 20h de TF1 pour dévoiler ce nouveau morceau.

Alors que la performance a fait son petit effet sur la toile, Stromae a tenu à revenir sur ce moment de télé dans les colonnes de Télérama : « Pour la sortie du film « Le Marsupilami », Jamel Debbouze était venu sur le plateau du JT avec le personnage en réalité augmentée », commence t-il. « Personne à l’époque n’avait trouvé à y redire. Je peux comprendre les critiques, les interrogations, car tout est mis en scène. Mais on a bien saisi que j’étais venu faire la promotion de mon disque. Il n’y a pas mort d’homme, c’est juste de la musique (…) Le journal de France 2 diffuse de la musique tous les dimanches, mais avec TF1 nous avons touché à une institution. C’est sûrement ce qui a déplu ».

Evoquant son prochain album, Stromae confie que « même s’il ne marche pas, ce disque me plaît, car il est comme je le voulais. Je peux me regarder dans une glace et être content, c’est le principal ». Stromae exprime une volonté de « brouiller les pistes », osant mélanger « un violon chinois avec de l’afro pop et des xylophones, un quatuor à cordes avec un clavecin sur une rythmique brésilienne ». Sur cet album, l’artiste a choisi de travailler avec des instruments asiatiques : « J’ai découvert des tas d’instruments comme le khên, cette flûte semblable à un orgue en Asie du Sud-Est. Et bien sûr l’erhu, ce violon chinois qu’on connaît tous sans le nommer », poursuit-il.

Pour découvrir le nouveau chapitre dans la carrière de Stromae, il faudra patienter jusqu’au 4 mars..!

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